Crachats d'étoiles

Tiens toi tu m'étonnes ! Ce qui est plaisant c'est que tu as la foi et que tu ne peux pas t'empêcher de la dire et je suis sûr : s'en t'en rendre compte. C'est bien.

Simplement, tu sais que Dieu existe et tu as peur de lui. (Comme au début, lorsqu'Adam et Eve ont eu peur et qu'ils se se sont cachés !) A cause de "la honte" et tu l'avoues ! C'est cela qui est bien chez toi. Je ne te connais pas, mais je veux juste te dire que tu n'as pas besoin d'avoir peur de Dieu ! Il ne veux surtout pas te juger ! Il veut te dire qu'il t'accepte comme tu es, et qu'il t'aime !

Le jugement -parce qu'il ne faut pas l'évacuer- le jugement s'est passé sur la croix ! Sur la croix c'était aussi ton propre jugement : c'est donc réglé ! Tu peux donc parler à Dieu sans crainte ! Il ne va pas te manger ! Bonne chance !

La petite cage s'appelle tout bêtement un confessionnal... ;-)

PS pour Alberto, j'admire la constance de votre démarche d'évangélisation virtuelle, malheureusement, vous avez un ton sentencieux et moralisateur qui découragerait la plus zélée des ouailles. Cessez donc d'écouter aux portes des confessionnaux.

Ce n'est pas parce que les commentaires ouvert donnent une impression de liberté qu'il faut en oublier la plus élémentaire notion de décence. Ce n'est pas la première fois que je vois vos commentaires sur des articles dans lequel une personne vient épancher son malaise, peindre un état de son âme, parfois pour chercher du réconfort, souvent simplement pour mettre des mots sur des doutes ou des douleurs, sûrement pas pour recevoir un sermon.

Que vous parliez de votre foi sur votre blog, je n'ai rien à y redire, bien au contraire, vous faites oeuvre de témoignage et je trouve ça très bien.

Car voyez-vous, je suis croyante aussi et je trouve obscène de balancer le Christ ou Dieu à la face de quelqu'un qui ne l'a pas demandé. Vous êtes sûrement pétri de bonnes intentions -les mêmes qui pavent l'enfer, vous savez... Mais votre démarche vous dessert et dessert ce que vous défendez.

Navrée Audrey de cette parenthèse.